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La feuille d’avis de Neuchâtel (03.09.1936)

Issu du numéro 74 de Die Neue Zeit

 

Cet article a 4 commentaires

  1. Albatros

    Les derniers paragraphes… ouch !
    On est loin, très très loin de l’esprit naturiste.
    En même temps, c’est « la feuille d’avis de Neuchâtel et du vignoble Neuchâtelois »…
    Des propos d’ivrogne en quelque sorte !

    1. marseilleman

      Je trouve néanmoins cet article intéressant. On peut féliciter le journaliste de s’être essayer à la nudité, ça ne devait pas être facile à l’époque pour franchir le pas.
      Le dernier paragraphe gâche tout, dommage, c’est clair.

  2. BORDET Claude

    Et comme leur monnaie les Suisses sont stables !
    Huitante ans plus tard « Die Neue Zeit » n’a pas changé, en 1936 ils écrivaient : « camp de nudistes » alors que c’étaient des naturistes.
    Aujourd’hui de l’autre coté de la frontière on parle de « centre naturiste » alors que nous ne sommes que des nudistes, et l’on pense que depuis 1936 c’est nous qui avons « évolués », j’ai des doutes…
    L’occasion de reprendre une de mes formules préférées : le jour de la fin du monde je passe la frontière, au moins là bas tout arrive avec 50 ans de retard !

    1. marseilleman

      La dénomination « nudiste » a changé avec le temps, comme le terme « naturiste ».
      Certains clubs étaient estampillés « naturiste » comme le « camp de Chartreuse » de Demarquette ou le maillot était obligatoire. Ça peut paraitre contradictoire aujourd’hui mais le terme « naturisme » désignait pour certains avant tout une hygiène de vie plus que la dénudation totale. Comme le Dr Carton, décrit comme un des fondateur du mouvement naturiste par la FFN mais qui était fondamentalement contre la nudité…
      Et comme je dis, il s’agissait de certains qui l’entendaient comme cela, pas tous, ce qui compliquait la compréhension. Du coup, pour que les choses soient claires, quelques centres se dénommaient « nudistes » ou « gymniques ».

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